excellence, celle que vénérerait Michou. (on a les références
qu’on peut.)
maisons de la caste des brahmanes, celle des hommes de lettres. Et
puis, comme le bleu c’est joli et que c’est sensé éloigner les
moustiques (mouais…), un peu tout le monde s’y est mis du petit
coup de peinture bleue sur la façade.
est tellement bleu qu’on s’y perd facilement. Mais c’est si bon de se perdre dans Jodhpur.
Malheureusement cette belle ville est
gâchée par les ordures qui traînent de partout. L’inde, c’est
sale, c’est une surprise pour personne mais là toutes les immondices
sont jetées dans la rue (quand les indiens ne les lancent pas
directement de leur fenêtre – j’ai évité de peu le lancer
d’épluchures sur ma tronche). Et à part les vaches, personne ne
semble s’en préoccuper.
Mais Jodhpur c’est aussi un fort, le
fort de Mehrangarh, propriété encore actuelle des descendants du
maharaja de Jodhpur.
multiples palais où on se plaît à imaginer la cour d’antan.
maharaja. Une fois abandonné le fort, il fallait bien qu’ils se
construisent une petite bicoque pour y habiter.
construction de leur résidence actuelle. 15 ans plus tard, on
inaugura leur nouvelle demeure, le palais de Chittar.
compris. La démesure semble être le maître mot de ces gens-là.
Si tu tiens à la vie, mieux vaut ne pas y faire une partie de cache-cache dedans!
1972, ayant compris que c’était légèrement trop grand pour eux (vraiment??),
le palace est devenu un hôtel de 300 chambres, laissant une partie
privé de « seulement » 50 pièces.
délicieux dans les ruelles de Jodhpur, ville où la douceur du bleu
se fond dans le sourire de ses habitants.
Mon chauffeur de rickshaw officiel de Jodhpur : Moh Shakel |
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