chauves-souris, il nous fallait quand même renouer avec la
civilisation et Kandy dans le centre du pays semble être la ville
idéale.
pleure, on rit (je-me-roule-par-terre tellement je crois être
drôle..) mais on s’émerveille pas tant que ça.
J’ai la confirmation que les villes au
Sri Lanka ne sont décidément pas très jolies. Aucun effort
architecturalement parlant sauf quelques vestiges de l’époque
coloniale. Et encore, ces vestiges là ne font plus vraiment rêver.
déplacer les foules à Kandy, c’est bien Bouddha.. Enfin plutôt sa
dent.
trouve dans le temple de Kandy qui porte logiquement le nom de
«temple de la dent de Bouddha» et qui est l’un des lieux les plus sacrés du
Sri Lanka.
apporte son offrande et l’accès à la « dent » se fait
par un escalier étroit, au compte-goutte, où il faut jouer des
coudes pour éviter d’être bousculer.
est dans un coffre, qui lui-même renferme un coffre dans lequel il y
aurait un petit coffre.. bref, personne ne peut voir la dent, pour
autant qu’elle existe réellement !
religieuse est impressionnante, et rien que pour cela, la visite
valait le coup !
Après la halte à Kandy, on part à
quelques dizaines de kilomètres dans un endroit absolument fabuleux au
milieu de plantations de thé: Madulkelle.
directement au milieu des plantations, ce qui permet un contact très
facile avec ces petites femmes sans âge qui viennent éreinter leurs
mains au contact des feuilles de thé. Une technique millénaire qui
n’est pas prête de s’arrêter. Dans 24 heures, les feuilles,
séchées, broyées, seront déjà prêtes à consommer. Je ne savais
pas que le processus était si rapide.
Ça discute, ça rit tout en
travaillant. Et je trouve ces femmes magnifiques.
se réveille sous la brume qui fait place rapidement à un grand
soleil radieux. Puis dans l’après-midi, inexorablement, le ciel se
couvre pour laisser place à quelques gouttes de pluie. Puis se
découvre à nouveau, le secret d’un thé bien vert se trouve là.
tout moment de la journée sont époustouflants.
d’inde du Sud. Ils sont logés dans de petits villages aux pieds des plantations, faits de
maisons colorées. La vie y paraît paisible où l’entre-aide et le
sens de la communauté sont les maîtres mots. Il m’a plu ce mini-village..
trouve fascinant tout ce qu’on peut lire dans leurs yeux. Une vie,
une autre vie.
plantations, c’est à nouveau la plage qui nous attend. Sur ce séjour
passé sur la plage de Passikudah, rien à dire si ce n’est que la
plage magnifique était déserte, que la mer frôlait les 30 degrés,
et qu’on ne pourra pas dire que j’ai maigri à mon retour..
dans un ressort luxueux. On était loin du voyage. Et ici je ne
raconte que mes expériences de voyage, pas mes vacances !
de glander sur le sable. La partie dure du voyage va reprendre à
travers les états du nord-est de l’inde qui ne sont ouverts aux
touristes indépendants que depuis deux ans. Infrastructures réduites
à… néant !
semaine. Je sens que ça va être folklorique..
faillir aux bonnes habitudes, le titre de chanson qui va bien avec le
post : « tea for two » de Doris Gray. Et allez au Sri Lanka!
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